The Last True Hermit
Le monde dormait
Dans son berceau de soleilLa mousse tapissait
Cailloux aprés cailloux, roc aprés roc
Le lit de la forêtLes jours se succedaient aux nuits
Les nuits aux jours
Les soirs le braisier chantait sous les étoiles
Les chants montaient au ciel comme des étincellesLe matin les premier rayons de soleil baignait dans la brume
Les arbres poussaient et s’étendaient au dessus des chemins
Ombrageaient les ronces encore couvertes de gelPuis venai l’hiver, la douleur le froid
Les blessures de la peau des mains gerçées
Le vent qui entre dans les habits, dans les cheveux
Le vents qui deséche la glotte, les yeuxLe bois à couper à la hache au fil usé
Les dernières halumettes
La nourriture en boite
Le silence sourd de la solitudeEt cependant l’éclats de la lune sur le sol gelé
Et d’infinies étoiles au bout des doigts
Suvies de l’éternelle lumiere du chants des oiseauxPour vivre les jours
Pour retrouver le monde
Et s’oublier soi-mêmeInspiré par l’histoire vrai de Christopher Thomas Knigh (http://www.gq.com/story/the-last-true-hermit)
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Naissance : non renseigné
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