Quand sonne la cloche centenaire
J’aime entendre le bruissement du vent
Dans le feuillage vert des arbres tentaculaires
J’aime écouter le lugubre grincement
D’une grille dans un vieux cimetièreEt sentir le baiser froid sur ma peau
Des courants d’air qui soulèvent la poussière
Et font frémir en profondeur mes vieux os
Quand sonne la cloche centenaireJ’aime le résineux parfum des cyprès
Le long des chemins boueux et caillouteux
Où chassent la nuit tombée de belles effraiesSous la lumière sublime d’une lune pleine
Curieux soleil de minuit de l’autre monde
Qui illumine de sa lueur spectrale l’autre domaine.30 juillet 2019
Poème préféré des membres
Aucun membre n'a ajouté ce poème parmi ses favoris.
guillaumePrevel
Nom : PREVEL
Prénom : GUILLAUME
Naissance : non renseigné
Présentation : non renseigné
Commentaires
Aucun commentaire
Rédiger un commentaire