Quand reviendront les beaux jours…
jpb01
Quand reviendront les beaux jours
Les jours en-allés
Reviendront les belles nuits
Les nuits d’étéNous étions seuls sur la promenade
Les heures passaient sans nous remarquer
Les jours s’écoulaient devant nous
Parmi des fleurs qui moûrrissaientNous nourrissons
Vous mûrissez
Ils pourrissentEt bientôt plus besoin d’avion
plus besoin de planète
plus besoin d’avettes ni de fil à plomb
Bientôt plus besoin de rien
que de croissants froids le matin(Ürümçi, 11 juin 1987)
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Commentaires
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jpb01
Nom : Tanguy
Prénom : Christian
Naissance : 16/02/1961
Présentation : non renseigné
En bonne grammaire...
Parmi des fleurs qui moûrrissaient
Est incorrect.
Il s'agit d'un verbe pronominal...
http://leconjugueur.lefigaro.fr/conjugaison/verbe/mourrir_pronominal-oblige.html
Vous prenez quelques liberté avec la langue française... Un retour au CP serait des plus utiles.
Étron, étron, petit patapon_____ ☻
Le verbe "moûrrir" (avec 2 R et un circonflexe sur le U, ne pas confondre avec "mourir") est de mon invention...
Le problème, avec ce que j'écris, c'est que ça grouille de piège, de second degré (et même de troisième et quelquefois de 3,14-ième degré), de références culturelles... De clins d'oeils... Etc.
"de piègeS" même
Je n'avais pas vu que c'était le verbe "mourrir" que vous aviez demandé au conjugueur (en plus je suis distrait, à un point tel que, plutôt qu'au CP, c'est dans une maison pour malades d'Alzheimer qu'il faudra bientôt m'inscrire...)
Ce site dit en rouge : « Attention, ce verbe peut ne pas exister, la conjugaison est donnée à titre d'exemple. »
Je ne suis pas française, je ne fais que lire le français, je ne possède pas tout le vocabulaire mais certaines formes choquent mon oreille. "Mourrissions" a choqué mon oreille, d'où ma recherche. A vous la maison pour Alzheimer, à moi la martenelle pour apprendre le français. Have a nice day.
Moi j'aime bien tes poésie un petit peu délirantes & tes mots improvisés, ne t'arrête pas jpb01.
N'arrête pas les mots-valises, JPB, ils sont savoureux.
Ne t’arrête pas ô noble poète
Aux commentaires grammaticaux
De ces incultes bêtes
À ces tristes pourceaux
Que tes licences poétiques
Renvoient à leur triste pratique.