Poème 'Noturno' de PhulanKile

Noturno

PhulanKile

La nuit englobe Paris
De mon espoir, fou, je vis
Les bonnes gens s’endorment
Et moi, pauvre petit, je grandis
Je devrais mugir, car l’heure sonne
Dans vos têtes d’alouettes grises
Et cependant j’emplis la brise
Celle que, nocturne, ne respire pas les loirs
Qui nous gouvernent, sans plus aucun espoir

5 mars 2004

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