Poème 'Les rues et les verres vides' de Odilon-Jean PÉRIER dans 'Le promeneur'

Les rues et les verres vides

Odilon-Jean PÉRIER
Recueil : "Le promeneur"

Les rues et les verres vides
La grande fraîcheur des mains
Rien de cassé Rien de sali Rien d’inhumain

Cordialement bonjour, bonsoir
Je suis paresseux tu vois
En bonne santé

A la santé du paysage
L’amateur de rues aérées
Si vous voulez que je vous aime
Ouvrez des mains immaculées

Je ne suis pas désaltéré.

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Commentaires

  1. Après la beuverie
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    Le rhapsode avait bu à des santés diverses ;
    Il se retrouva sous l'averse ;

    Tout le Quartier Latin n'était plus qu'un ruisseau,
    L'eau du ciel tombait à grands seaux.

    Levant alors les yeux vers les sombres nuages :
    « Ai-je commandé ce breuvage ? »

    « Rien, répondit le ciel, n'est à dramatiser :
    Tu te fais juste baptiser ».

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