Poème 'Les poissons volants' de ATOS

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Les poissons volants

ATOS

A la ligne d’un fleuve ne mesure pas ta demeure.
On ne franchit le fleuve que de son propre courant.
Ainsi éclaire-t-on toujours une demeure de son vivant
en oubliant les lumières d’un fleuve qui ne soulignent
que les méandres de son temps.
Écoute le courant de ton chant qui afflue par ton cœur,
il sait te dire où te porte ta demeure.

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