La Rose à voix de soprano
La rose à voix de soprano
joue la nuit du piano
Cela charme les monts et la plaine
le Rhin, la Loire et la Seine
et les fées et les sirènes
dans leurs palais de roseauxLa rose à voix de soprano
est connue même à Concarno
à Fosse-Repose et à Locarno
Et dans les faubourgs de Kovno
Et sur les plages de Bornéo
Et dans tous les châteaux à créneaux.
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Robert DESNOS
Robert Desnos est un poète français, né le 4 juillet 1900 à Paris et mort du typhus le 8 juin 1945 au camp de concentration de Theresienstadt, en Tchécoslovaquie à peine libéré du joug de l’Allemagne nazie. Autodidacte et rêvant de poésie, Robert Desnos est introduit vers 1920 dans les milieux littéraires modernistes et... [Lire la suite]
Très belle poésie mais il y a trop de mots difficile .
La rose a voix de soprano elle est belle la poésie mes beaucoup de mots difficile
Trop facile cette poésie c pour mon école elle et très facile aucun mot difficile et sa j'adore en plus elle n'est pas long du tout je l'aime assez bien cette poésie de Robert Desnos .
La poésie et longue et difficile à la maison et le plus beau jour où il a été arrêté la musique la vie est un des meilleurs joueurs du club des pays du sud du Québec à Montréal le monde les gens de la vie est un des meilleurs joueurs du club des gens de la famille et les gens de ma mère qui a été arrêté la famille et les autres pays européens
Trop facile la poésie de rober desnos niquer vos grand mére
Roseau qui chante
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Je taille les roseaux
Pour en faire ma flûte ;
Longtemps je les affûte
Et soigne leurs biseaux.
Chantant pour les oiseaux,
Dryades, vous leur plûtes ;
Ensuite, vous leur lûtes
Un bel arioso.
Je n’ai rien d’autre à dire ;
Je vais ranger ma lyre
Car le silence est d’or.
Dans une autre aventure
J’ai perdu ma ceinture ;
Je n’en dis rien, je dors.
Tortue qui chante
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Je divertis le tavernier
Avec quelques couplets débiles ;
La belle tavernière Odile
Les a transcrits sur le papier.
Les buveurs me sont familiers,
Dont les âmes sont peu subtiles ;
Le plus fidèle, c’est Achille
Qui du comptoir est le pilier.
Ils ignorent le goût de l’eau
Mais savent celui de la bière ;
Odile leur en verse à flots.
Pas de télé, pas de rugby,
Quelques chansons dans la lumière ;
Que du banal, rien de zarbi.