Je me suis prosternée devant l’icône de tes lèvres
Les feuilles des platanes bruissaient
hier
sous la voûte d’aube du Maine,les oiseaux se pendaient
aux
rivages des bocages,tandis qu’au loin,
les nuages annonçaient
les complies de l’été.Je me suis approchée de ta pénombre,
moi qui ne suis que l’humble chantre
de ta gloire,et je me suis prosternée
devant
l’icône de tes lèvres,ta voix seule brisait
le
vin doux du silence.Je t’ai offert des rimes de roses,
puis
ce chapelet de pétales de douceur,ta robe de soie blanche
dévoila le souffle vagabond de la brume,
le miel sauvage de la fraîcheur,et dans la houle de tes bras,
sur le verset cadencé du vent,
j’ai cueilli les fruits de la Passion.
Poème préféré des membres
Aucun membre n'a ajouté ce poème parmi ses favoris.
anne556
Nom : non renseigné
Prénom : Anne
Naissance : 11/06/1997
Présentation : J'adore la Nature, le Maine dont je suis originaire, et la Femme pour sa douceur, sa chair de grâce, car la Femme est Grâce, sa vénusté et l'élégance de ses courbes, et donc le corps lesbien....
- Je me suis prosternée devant l'icône de...
- Poète, pourquoi ne consignes-tu pas
- Je magnifiai la splendeur de ton sexe
- La ballade languide de ta nudité
- Toi mon élue, Toi la Femme d'entre les...
- Les doux parfums des bocages
- Don de chair
- Je guetterai ta bouche vermeille
- Renaissance
- La Femme est le sacre du Monde
Commentaires
Aucun commentaire
Rédiger un commentaire