Poème 'Forêt pelote' de ATOS

Forêt pelote

ATOS

Le ciel et moi nous tombons à flocons ouverts
au bout des cils il y a la vie qui marche sans hiver
et puis le vent qui écrit sa rivière.
De la pointe de l’étang le monde donne la lumière
L’arbre grandit lorsqu’il comprend.

Poème préféré des membres

Loic a ajouté ce poème parmi ses favoris.

Commentaires

Aucun commentaire

Rédiger un commentaire

© 2024 Un Jour Un Poème - Tous droits réservés
UnJourUnPoeme sur Facebook UnJourUnPoeme sur Twitter RSS