Femme
À l’appel il ne manque
Ni toi, ni elle, ni la fille de joie
Et pourquoi pas
Toujours présentent dans nos combats
À la tête parfois
Et avec panache ma foi
Vous êtes notre soutien face aux malheurs
À l’adversité
Dans notre combat contre les guerres
Voulues par les nouveaux rois
Vous êtes là, nous protégeant de vos bras
Vous êtes notre force, notre détermination
Contre le capital,
Vous criez avec nous vive la social
Vous représentez la moitié du ciel
C’est bien vrai tant de fois
Mais alors quelle place de choix
La première, bien méritez comme il se doit
Nous ne venons qu’en second partie
Vous secondez dans ce ciel azur
Mesdames vous la vraie intelligence
Celles du cœur et de la tête
Nous bêtement nous sommes admiratifs
De voir tant de splendeurs nous enivre, nous émoustillent
Attisent nos sens
Devant ces gorges profondes, dans lesquelles d’aucuns s’y perdraient
Sillons sublimes, surmontés par deux monts
Aux cimes enneigées, fécondes de ce nectar
Si propice à la vie
Subjugués devant ces colonnes herculéennes taillées dans le marbre
Invitant l’élu à rejoindre
L’origine du monde
Antre si accueillant, prisons dorée
Pour pauvres hères que nous sommes
Lieu créateur de vies,
Le seul vrai miracle d’existence, s’il en est
Nos ancêtres dits « primitifs », l’avaient déjà compris
Eux qui dès cette époque mettait la femme
Sur un piédestal, l’honoraient,
La plaçaient aux centres de la vie publique
Nous hommes à prétentions civilisatrices
Ce n’est que maintement
Que nous prenons consciences,
Pauvres ignorants que nous sommes
C’est aujourd’hui, que nous rejoignons nos ancêtres
La femme est première
De sa cote absente, naquit l’homme
Comme celui qui vient de naitre à ton amour
Que je n’ose encore te nommer
Tu es première dans mon cœur
Mon corps est tiens
Ah, comme j’aimerai répondre sans attendre
À tes invites, engluer dans mes contradictions
Et embuche parental
Enfermer dans ma timidité sordide,
Ma couardise et ma peur maladive
Sache cependant que je suis à toi
À jamais
Tu sais que ma mie, s’en était aperçue
D’un clin d’œil, m’invita à franchir le pas
Que je ne fis pas
Pauvre être, inconsistant qui préfère la solitude
Plutôt que te chérir
Quand je surmonterai, mes doutes
Je serai capable de t’arracher des griffes du rival
Même s’il est marital, ou infernal
Mon amour pour toi pourrait être un hymne à la joie
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turia
Nom : AGRO
Prénom : Salvatore
Naissance : 11/12/1953
Présentation : Textes écrits par la furie de transmettre mes sentiments sur plusieurs sujets, je ne suis pas un poète je m'en ai pas la capacité,ni la formation pour ce faire, mais ces textes sont appréciés...
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