Empire
Empire tu as de multiples facettes
À ton gré tu nous montres celle que tu désires
La démocratie, avec Tocqueville
La scélérates avec McCarthy
En fait tu as plusieurs apparences
Celle de l’ogre,
Et celle de l’hydre
Tel un vampire tu suce la substance vital des peuples
Tu t’accapares de leurs meilleurs cerveaux
Tu les malaxes, les broies, les digèrent et les rejettent en cacas
De cette fiente malodorante,
Tu en fais des soldats
Dont ton hydre se sert alors, pour semer la désolation et le désarroi
À un endroit tu atomise, tu t’es pris le droit,
Tuant la population entière,
Tuant même ceux qui sont encore à naitre
À un autre tu défolie avec ce poison que seul toi à le droit de répandre,
Privant de vie une nation entière
Par ou tu passes tu sème le chaos et la peste,
Partout tu répands le malheur et ça te plait tellement
L’hydre de tes entrailles,
Étend maintenant ces bras tentaculaires sur le monde
Les Amériques, l’Afrique, l’Asie,
Et à l’instant le Moyen-Orient
Tes sbires européens et toi,
Vous êtes,
Et vous vous comportez,
Comme les plaies des temps révolus des cieux
Tu pousses même le cynisme jusqu’à faire croire aux pauvres hères que nous sommes,
Que tu tues par bonté,
Que tu tues pour instaurer la démocratie ou les droits humains,
Mais toi qui les nient même à tes enfants ce droit le plus élémentaire,
le droit à manger à sa faim,
À celui de s’instruire sans fins,
À celui de subvenir à ces besoins,
Il n’y a qu’un fou qui pourrait suivre ton chemin,
Les peuples ne sont pas si imbéciles pour suivre le tiens
Ceux qui te suivent dans ta quête dévastatrice,
Ceux-là sont sereins pour un temps,
Les autres d’un esprit plus indépendant tu ne leurs laissent qu’un seul droit » qu’ils crèvent
S’ils le peuvent en silence et sans remord
Portant déjà en son temps,
Beaucoup de sages tel Romain Rolland, t’on prévenus,
D’apprendre à maitriser,
Cette puissance nouvellement acquise et mal domestiqués
Mais l’hydre est-elle là pour écouter les sages,
Non elle préfère avaler tout sur son passage
Et maintenant non contente d’avoir asservie les peuples,
Elle veut aussi dominés la nature
Mais croit-elle ?
Que celle- ci sois si naïve.
Et qu’elle se laissera dominé, et violé par cette bête-là
Sans que dans un sursaut d’orgueil,
Elle balaye comme un fétu, les prétentions de huit imbéciles qui se prennent pour des dieux
La nature reprend toujours ces droits, rien ne l’empêchera,
Elle a tout le temps pour cela.
Agro Salvatore
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turia
Nom : AGRO
Prénom : Salvatore
Naissance : 11/12/1953
Présentation : Textes écrits par la furie de transmettre mes sentiments sur plusieurs sujets, je ne suis pas un poète je m'en ai pas la capacité,ni la formation pour ce faire, mais ces textes sont appréciés...
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