Poème 'Élégie' de korobesse

Élégie

korobesse

Le lierre s’est figé
Au marbre gris et rose…
Le silence a frappé
Chaque heure, chaque chose.

On entend tout là-bas
Pourtant gémir la plainte
Du bassin triste et las
S’élève une complainte.

Trop longtemps prisonnier de ce parc sans vie
A l’ombre d’un cypres un vieux faune s’ennuie
Car le bal est fini,la fontaine tarie,
Les Naïades sont mortes et les beaux jours ont fuient…

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