À elle
Le ciel criblé d’étoiles,
Sous les jeunes rameaux
Aux fleurs rouges fremissantes,
D’un flamboyant remuant sa tête pensive.
Dans un profond soupir,
Je te laisse sur ce chemin
Que nos corps ont foulé.
Nos enfants iront peut être sentir
La douce bruine chanter
Ta présence éphémère
À la saison sèche,
Où entendre ton rire
Résonner sur les parois endormies
Là où la lune pâle touche l’horizon
Là-bas sur les plaines
Enceintes de monts abruptes.
Quand l’âme s’en est allée
Dans l’écho étoilé
D’une source qui chante
Mon cœur songe…Naji Okba. Pour MPR.
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okbanaji
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