Théophile GAUTIER (1811-1872)
Sa biographie
Pierre Jules Théophile Gautier est un poète, romancier, peintre et critique d’art français, né à Tarbes le 30 août 1811 et mort à Neuilly-sur-Seine le 23 octobre 1872 à 61 ans.
Né à Tarbes le 30 août 1811, le tout jeune Théophile garde longtemps « le souvenir des montagnes bleues ». Il a trois ans lorsque sa famille s’installe à Paris. Malgré son jeune âge, il éprouve de la nostalgie et s’habitue mal à son nouvel environnement. Lecteur avide, il a cinq ans lorsqu’il commence à lire. Sa grande passion est « Robinson Crusoe », qui fait sur lui une vive impression, puis « Paul et Virginie » ; il rêve de devenir marin, avant de se passionner pour le théâtre, notamment la peinture des décors.
En 1820, à l’âge de huit ans, il fait un bref séjour en tant que pensionnaire au lycée Louis-le-Grand. Ses parents doivent l’en retirer au bout d’un trimestre puisque il y dépérit. Plus heureux comme « externe libre » au collège Charlemagne, Gautier y rencontre le jeune Gérard Labrunie (le futur Nerval) et manifeste un goût particulier pour les poètes latins dits décadents, les « grotesques » et pour la natation qu’il pratique assidument.
Il est en terminale lorsqu’il commence à fréquenter l’atelier du peintre Louis-Édouard Rioult (1790-1855), rue Saint-Antoine, et découvre à cette occasion qu’il souffre de myopie.
Sa rencontre le 27 juin 1829 avec « le maître » Victor Hugo, auquel le présentent Gérard et Petrus Borel précipite sa carrière d’écrivain. Le 25 février 1830, il participe à la bataille d’Hernani, vêtu d’un gilet rouge qui marquera durablement les esprits. Le soir même, il quitte l’atelier de Rioult.
Tout en menant « toutes les grandes campagnes romantiques », il écrit un premier recueil de vers, dont son père finance la publication et qui sort chez Mary le 28 juillet 1830, en plein milieu des Trois Glorieuses. Le 28 juillet 1830 est le jour des barricades à Paris et le recueil passe sous silence. Ces premières poésies pourtant montrent un jeune poète fort habile, ayant déjà acquis la manière des anciens et, conscient de leur héritage, il y fait preuve d’originalité par une forme bien arrêtée et une langue précise et nette.
Il continue à fréquenter Victor Hugo et ses proches. C’est dans ce cénacle qu’il fait la connaissance de Célestin Nanteuil, qui trois ans plus tard, lorsque Gautier réimprime ses premiers vers dans un nouveau recueil intitulé « Albertus », récit fantastique, diabolique et pittoresque, l’illustre d’« une eau-forte ultra-excentrique ». Il rencontre également l’éditeur romantique Eugène Renduel, qui vient de publier « les Soirées de Walter Scott », de Paul Lacroix. À sa demande il écrit en 1833 « Les Jeunes-France », qui rendent compte avec truculence de la vie des artistes et écrivains qui forment le Cénacle. Dans cet ouvrage « baroque » pourtant, Gautier se fait le témoin lucide et ironique de ces « Précieuses Ridicules du Romantisme ». Deux ans plus tard Renduel publie également « Mademoiselle de Maupin » (1835), qui fait scandale.
Quittant le domicile familial, place des Vosges, Théophile Gautier s’installe impasse du Doyenné, à l’emplacement de la place du Carrousel, dans un appartement où il a comme voisins Camille Rogier, Arsène Houssaye et Nerval.
Honoré de Balzac, qui apprécie ces jeunes talents, envoie Jules Sandeau leur proposer de contribuer au journal « La Chronique de Pari »s en 1836. « Balzac, qui daignait me trouver du talent et le dire, m’envoya chercher par Jules Sandeau». Gautier y publie des nouvelles comme « La Morte amoureuse » et « La Chaîne d’or » et des critiques d’art. Il sera fort impressionné par le maître et plus tard, il contribuera à sa légende avec des portraits biographiques d’Honoré de Balzac.
Il travaille également pour le magazine de Charles Malo, « La France littéraire », et pour le quotidien d’Émile de Girardin, « La Presse ». Dans ce journal, Gautier se charge d’abord de la critique d’art. On évalue à plus de deux mille le nombre des feuilletons et articles qu’il aurait rédigés pour ce journal. Un nombre restreint de ces articles est recueilli en volumes : « Les Grotesques », « L’Histoire des peintres », « l’Art moderne », « Les Beaux-Arts en Europe », « l’Histoire de l’art dramatique depuis vingt-cinq ans », « Trésors d’art de la Russie », « Portraits contemporains », « Histoire du Romantisme », « Souvenirs littéraires », etc. Tous ces articles sont allègrement écrits dans une langue nette, souple, impeccable et brillante. Gautier invente à sa manière une écriture de critique d’art qui ne vise pas seulement au jugement, à l’analyse, mais aussi à recréer la justesse du sentiment esthétique. Il cherche à rendre, au moyen de mots, la sensation visuelle, musicale produite par la perception directe de l’Å“uvre d’art. Cette tâche de chroniqueur l’occupe toute sa vie. « J’ai travaillé à La Presse, au Figaro, à La Caricature, au Musée des Familles, à la Revue de Paris, à la Revue des Deux Mondes, partout où l’on écrivait alors. » Souvent pesante, cette besogne quotidienne ne l’empêche pas de faire du sport (de la boxe et du canotage) et de continuer à créer des Å“uvres poétiques et dramatiques. Ainsi en 1838 paraît « La Comédie de la Mort », un recueil de poèmes assez différent des précédents où, sous l’influence de Shakespeare, Goethe et Dante, Gautier sculpte avec vigueur le spectre de la Mort. En 1839, Gautier cède à la tentation du théâtre qu’il admire depuis toujours et écrit « Une larme du diable » puis « Le Tricorne Enchanté » et « Pierrot Posthume ». Ce sont des fantaisies, des pastorales féeriques, un théâtre lyrique, impossible et imaginaire qu’il fait vivre encore dans les livrets de plusieurs ballets, dont le plus célèbre est celui de « Giselle », dansé à l’Opéra le 28 juin 1841, avec un succès prodigieux.
En mai 1840, il part en Espagne, qu’il connaît à travers les « Contes d’Espagne et d’Italie » d’Alfred de Musset et « les Orientales » de Victor Hugo. Son « Voyage en Espagne », sorte de carnets d’impressions vigoureux, est marqué par la fraîcheur du regard, l’étonnement de la vision et le souci toujours exacerbé de la justesse du dire. Ces visions donnent lieu à de nouveaux vers, « España », qui paraissent dans le recueil des « Poésies complètes » en 1845. Ce premier voyage en amène bien vite d’autres. En 1845 c’est l’Algérie, en 1850 l’Italie, en 1852 la Grèce et la Turquie, en 1858 la Russie et en 1869 l’Égypte (envoyé par le « Journal Officiel » pour l’inauguration du canal de Suez). Chacun de ces voyages donne lieu à des publications : « Italia », « Constantinople », mais surtout ils nourrissent ses Å“uvres littéraires, romans, nouvelles ou poésies.
À côté de son travail de critique, qu’il poursuit au « Moniteur », Gautier garde toujours une prédilection pour la poésie : elle demeure, comme en témoignent ses amis comme Émile Bergerat ou Maxime du Camp par exemple, sa passion, sa distraction, son exercice quotidien. Ainsi, en 1852, paraît la première version de « Émaux et Camées », recueil qui jusqu’en 1872 s’enrichit de poésies nouvelles.
En 1857, Gautier s’installe avec sa compagne, Ernesta Grisi (sÅ“ur de la danseuse Carlotta Grisi), ses filles, Judith Gautier et Estelle, qui épouse Émile Bergerat, et ses deux vieilles sÅ“urs, 32 rue de Longchamp à Neuilly-sur-Seine, dans une petite maison où il se plaît à recevoir ses amis : Baudelaire qu’il rencontre régulièrement (il n’ira pourtant pas à l’enterrement de Baudelaire lorsque celui-ci aura lieu), Dumas fils, Ernest Feydeau, Gustave Flaubert, Puvis de Chavannes ou encore Gustave Doré.
De sa liaison avec Eugénie Fort, une très belle femme, plus jeune que lui et avec des origines espagnoles, il a un fils, Théophile Gautier fils qui suppléa son père plusieurs fois au « Moniteur ».
Lors des salons littéraires de la princesse Mathilde, dont il est nommé bibliothécaire, Gautier rencontre également des écrivains comme Taine, Sainte-Beuve, Prosper Mérimée, les Goncourt ; des peintres comme Paul Baudry, Gustave Boulanger, Jean-Léon Gérôme ; des sculpteurs comme Carpeaux ; des savants comme Claude Bernard, Pasteur ou Berthelot. À cette époque Gautier fait figure de chef d’école. Baudelaire se déclare son disciple (il lui dédie « Les Fleurs du mal », le qualifiant de « poète impeccable »), Théodore de Banville lui dédie ses vers. En 1844 Théophile Gautier fonde le club des Hashischins avec Jacques-Joseph Moreau, club voué à l’étude du cannabis. Ce club sera fréquenté par de nombreux artistes de l’époque dont Charles Baudelaire.
Élu en 1862 président de la Société nationale des Beaux-Arts, il est entouré d’un comité composé des peintres les plus prestigieux : Eugène Delacroix, Pierre Puvis de Chavannes, Édouard Manet, Albert-Ernest Carrier-Belleuse et Gustave Doré. Cette élection à un poste en vue provoque l’envie d’une partie des littérateurs moins connus et il échoue à trois reprises lorsqu’il se présente à l’Académie française, en 1866, 1868 et 1869.
Profondément ému par les événements militaires de 1870, Gautier revient à Paris, où il finit ses jours, rongé par la maladie, mais conscient du devoir d’enseignement et d’exemple dont il est investi auprès des jeunes générations. Le 23 octobre 1872 dans la nuit, son cÅ“ur cesse de battre. Hugo, Mallarmé ou encore Banville lui rendent un dernier « toast funèbre ». Il est enterré au cimetière de Montmartre à Paris. Il avait 61 ans.
Ses oeuvres
- Albertus, 01 – I Ã X
- Albertus, 02 – XI Ã XX
- Albertus, 03 – XXI Ã XXX
- Albertus, 04 – XXXI Ã XL
- Albertus, 05 – XLI Ã L
- Albertus, 06 – LI Ã LX
- Albertus, 07 – LXI Ã LXX
- Albertus, 08 – LXXI Ã LXXX
- Albertus, 09 – LXXXI Ã XC
- Albertus, 10 – XCI Ã C
- Albertus, 11 – CI Ã CX
- Albertus, 12 – CXI Ã CXX
- Albertus, 13 – CXXI Ã CXXII
- A une robe rose
- Affinités secrètes
- Apollonie
- Après le feuilleton
- Bûchers et tombeaux
- Caerulei oculi
- Camélia et Pâquerette
- Carmen
- Ce que disent les hirondelles
- Contralto
- Coquetterie posthume
- Dernier voeu
- Diamant du coeur
- Fantaisies d’hiver
- Fumée
- L’art
- L’aveugle
- L’obélisque de Luxor
- L’obélisque de Paris
- La bonne soirée
- La fellah
- La fleur qui fait le printemps
- La mansarde
- La montre
- La nue
- La rose-thé
- La source
- Le château du Souvenir
- Le merle
- Le monde est méchant
- Le poëme de la femme
- Le souper des armures
- Les accroche-coeurs
- Les joujoux de la morte
- Les Néréides
- Lied
- Noël
- Odelette anacréontique
- Plaintive tourterelle
- Premier sourire du printemps
- Rondalla
- Sur le Carnaval de Venise I – Dans la rue
- Sur le Carnaval de Venise II – Sur les lagunes
- Sur le Carnaval de Venise III – Carnaval
- Sur le Carnaval de Venise IV – Clair de lune sentimental
- Symphonie en blanc majeur
- Tristesse en mer
- Vieux de la vieille
- À la Bidassoa
- À Madrid
- À Zurbaran
- Adieux à la Poésie
- Au Bord de la Mer
- Consolation
- Dans la Sierra
- Départ
- Deux Tableaux de Valdès Léal
- En allant à la Chartreuse de Miraflorès
- En passant à Vergara
- En passant près d’un Cimetière
- In deserto
- J’ai dans mon coeur…
- J’ai laissé de mon sein de neige
- J’allais partir …
- J’étais monté plus haut…
- L’Escurial
- L’Horloge
- La Fontaine du Cimetière
- La Lune et le Soleil
- La Petite Fleur rose
- La Vierge de Tolède
- Le Chasseur
- Le Cid et le Juif
- Le Laurier du Generalife
- Le Pin des Landes
- Le Poète et la Foule
- Le Roi solitaire
- Le Soupir du More
- Les Affres de la Mort
- Les Trois Grâces de Grenade
- Les Yeux bleus de la Montagne
- Letrilla
- Pendant la Tempête
- Perspective
- Ribeira
- Saint Christophe d’Ecija
- Sainte Casilda
- Séguidille
- Sérénade
- Stances
- Sur le Prométhée du musée de Madrid
- A deux beaux yeux
- À un jeune Tribun
- Absence
- Après le Bal
- Au Sommeil
- Barcarolle
- Cariatides
- Ce monde-ci et l’autre
- Chant du Grillon
- Chinoiserie
- Choc de cavaliers
- Compensation
- Dédain
- Destinée
- Élégie – J’ai fait une remarque hier en te quittant…
- Étoiles, qui d’en haut voyez valser les mondes
- L’Hippopotame
- La Bonne Journée
- La Caravane
- La Chanson de Mignon
- La Chimère
- La Dernière Feuille
- La Diva
- La Mort dans la vie – Chapitre 4
- La Mort dans la vie – Chapitre 5
- La Mort dans la vie – Chapitre 6
- La Mort dans la vie – Chapitre 7
- La Mort dans la vie – Chapitre 8
- La Mort dans la vie – Chapitre 9
- La mort est multiforme…
- La Vie dans la mort – Chapitre 1
- La Vie dans la mort – Chapitre 2
- La Vie dans la mort – Chapitre 3
- Lamento – Connaissez-vous la blanche tombe
- Lamento – La Chanson du Pêcheur
- Le Lion du Cirque
- Le Nuage
- Le Pot de fleurs
- Le Premier Rayon de Mai
- Le Sommet de la Tour
- Le Spectre de la Rose
- Le Sphinx
- Le Thermodon
- Le Triomphe de Pétrarque
- Le Trou du Serpent
- Les Colombes
- Les Papillons
- Les Vendeurs du Temple
- Magdalena
- Melancholia
- Montée sur le Brocken
- Niobé
- Notre-Dame
- Pastel
- Pensée de minuit
- Portail
- Pour veiner de son front
- Qui sera roi ?
- Rocaille
- Romance
- Ténèbres
- Terza rima
- Thébaïde
- Tombée du jour
- Tristesse
- Versailles
- Villanelle rythmique
- Watteau
- À Bébé
- À Bouguereau
- À Gérome
- À la Présidente
- À Maxime du Camp
- À Turgan
- Accablement
- Bonheur parfait
- Concordances
- Distique sur un dessin du peintre Puvis de Chavannes
- En quittant Tolède
- Femme du monde
- Fête de nuit
- L’Épouseur de famille
- La Mort, l’apparition et les obsèques du capitaine Morpion
- Le Godemichet de la gloire
- Le Nombril
- Le Sot
- Musée secret
- Questions
- Solitude
- Sonnet bouts-rimés
- À Charles Garnier (Épitre monorime)
- À Claudius Popelin (Sonnet I)
- À Claudius Popelin (Sonnet II)
- À des amis qui partaient
- À Ingres
- À Jean Duseigneur, sculpteur
- À l’Impératrice
- À L. Sextius
- À la princesse Bathilde
- À Marguerite – Sonnet I
- À Marguerite – Sonnet II
- À Maxime du Camp
- À propos du ‘Chant du Cygne’
- À trois Paysagistes
- À une jeune Amie
- À une jeune Italienne
- Allitérations
- Ambition
- Après la Bataille
- Au Bois de Boulogne
- Ave Maria
- Chanson à boire
- Dans un baiser, l’onde au rivage…
- Épigraphe placée en tête de ‘Sous la table’
- Épigraphes placées en tête de « Daniel Jovard »
- Fatuité
- Ghazel
- J’ai tout donné pour rien
- J’aimais autrefois la forme païenne…
- Je sais un nid charmant et tendre…
- Jettatura
- L’Esclave
- L’Esclave noir
- L’Hirondelle
- L’Impassible
- L’Odalisque à Paris
- L’Ondine et le Pêcheur
- La Fuite
- La Fumée
- La Neige (Fantaisie d’hiver)
- La Péri
- La Tulipe
- Le 28 Juillet 1840
- Le Banc de Pierre
- Le Bédouin et la Mer
- Le Glas intérieur
- Le Lion de l’Atlas
- Le Profil perdu
- Le Puits mystérieux
- Le Rose
- Le Ruisseau
- Le Sonnet – À Maître Claudius Popelin, émailleur et poète
- Le Vingt-sept Mai
- Les Joyeusetés du Trépas
- Les Lions de l’Arsenal, Ã Venise
- Les Matelots
- Les Rôdeurs de nuit
- Les Taches jaunes
- Modes et Chiffons
- Mon Å“il, sur le cadran toujours fixé, calcule…
- Nativité
- Oui, Forster, j’admirais ton oreille divine…
- Parfois une Vénus, de notre sol barbare…
- Perplexité
- Prière
- Promenade hors des Murs
- Quatrains
- Sultan Mahmoud
- Sur un Album
- Un ange chez moi parfois vient le soir…
- Vous étiez sous un arbre, assise en robe blanche…
- Wladislas III
- À mon ami Auguste M***
- À mon ami Eugène de N***
- Cauchemar
- Cher ange, vous êtes belle…
- Clémence
- Colère
- Débauche
- Déclaration
- Élégie : Elle est morte pour moi…
- Élégie : Je voudrais l’oublier…
- Élégie : Ma charmante…
- Élégie : Nuit et jour…
- Enfantillage
- Far-niente
- Frisson
- Imitation de Byron
- Infidélité
- Justification
- L’Oiseau captif
- La Basilique
- La Demoiselle
- La Jeune Fille
- La Tête de mort
- Le Bengali (à une jeune fille créole)
- Le Cavalier poursuivi
- Le Champ de bataille
- Le Coin du feu
- Le Jardin des Plantes
- Le Luxembourg
- Le Marais
- Le Retour
- Le Sentier
- Les Deux Âges
- Les Souhaits
- Maria
- Méditation
- Moyen-âge
- Nonchaloir
- Pan de mur
- Paris
- Paysage
- Pensées d’automne
- Pluie
- Point de vue
- Promenade nocturne
- Quand à peine un nuage…
- Rêve
- Serment
- Soleil couchant
- Sonnet : Aux vitraux diaprés…
- Sonnet : Avant cet heureux jour…
- Sonnet : Avec ce siècle infâme…
- Sonnet : Lorsque je vous dépeins…
- Sonnet : Ne vous détournez pas…
- Sonnet : Quelquefois, au milieu de la folâtre orgie…
- Sonnet : Qu’est-ce que ce bonheur dont on parle…
- Souvenir
- Un Vers de Wordsworth
- Une Âme
- Veillée
- Vous ne connaissez pas les molles rêveries…
- Voyage